Péridurale: l’horreur absolue

 

L’injection d’ocytocine à la mère montre un nouvel effet pervers pire que l’on pouvait l’imaginer. L’effet de cette hormone sur l’artificialisation des contractions utérines et son effet néfaste sur le crâne était connu depuis longtemps et j’en parlais déjà dans la Naissance Biotique en 1999.

Mais un nouvel élément qui fait suite à la découverte de l’ocytocine sur l’autisme vient s’ajouter maintenant à ce tableau funeste. (voir encadré)

C’est la diffusion par l’organisme de l’enfant et de la mère de cette hormone artificielle, dans l’espace vibratoire quantique. Les CVQ y sont donc particulièrement sensibles et on assiste à une sorte formatage de l’artificialisation de l’amour sur la planète, puisque quasiment toutes les femmes accouchent sous péridurale.

C’est comme un leur invisible qui crée une nouvelle forme d’amour artificiel et donc de relation artificielle. Il est évident que cela arrange le mondialisme marchand.

Prenons l’exemple du maïs transgénique qui contamine l’ADN des champs voisins. C’est exactement pareil. Tout comme une prière, l’organisme de l’enfant émet dans l’espace vibratoire quantique une Biofréquence «ocytocine» reconnue par les autres CVQ comme une norme puisque c’est une hormone qu’il connait, il se cale en quelque sorte sur cette nouvelle norme;  Elle devient alors la norme artificielle de l’amour. La même chose se passe pour les vaccins. L’artificialisation de l’immunité vaccinale contamine les organismes des autres enfants sains -donc non vaccinés- déréglant leur recherche du Soi cosmique et l’accès à leur forme plus évoluée du CVQ.

C’est pour cela que l’on assiste maintenant, et de plus en plus, à tant de problème relationnels chez ces enfants qui n’ont jamais connu véritablement l’amour avec leur génitrice, du fait de cette injection d’ocytocine, du fait de ce film invisible qui les séparent.

Progressivement on va assister l’apparition d’un monde sans amour, dur, violent, chaotique, décousu, hyperactif, du fait de la naissance par péridurale.

Un nettoyage par le protocole homéobiotique est possible mais l’expérience montre que si il est pratiqué tardivement, la construction de la personnalité de l’enfant sur cette norme toxique -qui n’a jamais connu l’amour réel donc- sera très difficile à redresser.

Autisme: l'hormone de l'accouchement impliquée


En injectant un diurétique à des souris porteuses d’une forme d’autisme juste avant qu’elles n’accouchent, des chercheurs français sont parvenus à prévenir les comportements autistiques dans leur descendance. Ils ont ainsi mis en lumière le rôle prépondérant d'une hormone produite au moment de l'accouchement dans l'apparition de la maladie.


S&A : Vos recherche permettent-elles d'envisager un remède contre l'autisme ?


Yehezkel Ben-Ari : Non, il n'est pas envisageable à l'heure actuelle de soigner l'autisme. Car prévoir que tel ou tel enfant à naître sera touché par l’autisme n’est pas possible. Le mécanisme d’apparition du syndrome autistique décrit dans notre étude permet de mieux comprendre la maladie, mais pas d’anticiper son apparition et encore moins de la traiter de façon préventive.

Il est vrai qu'on a réussi à prévenir l’apparition de l’autisme chez des souris en administrant des substances diurétiques à leur mère peu avant l’accouchement, mais parce qu’on savait que, sans ce traitement, ces souris à naître développeraient l'autisme. Chez l’homme cela reste impossible. Notamment car on ne peut pas mesurer le taux de chlore neuronal chez l’homme. Et on ne va pas administrer de diurétique à toutes les femmes enceintes avant qu’elles n’accouchent !

Prévenir l'apparition de la maladie avant la naissance serait éventuellement envisageable avec une pathologie comme la trisomie 21 (ndlr : ce n'est pas le cas), car son apparition peut être observée et confirmée très tôt.



S&A : Quel espoir cette découverte offre dans la lutte contre l'autisme ?


Yehezkel Ben-Ari : Notre étude permet d’envisager le développement d’outils de dépistage très précoce. Actuellement on est en mesure de diagnostiquer l’autisme chez l’enfant à partir de ses 2 ans. Certaines études montrent que des différences cérébrales sont identifiables dès 6 mois. Nous pouvons désormais espérer dépister l’autisme au bout de quelques mois. Or, on sait que dans ce type de maladie, plus on la repère vite plus les traitements envisagés seront efficaces.

Surtout, on peut désormais travailler sur certaines molécules comme les substances diurétiques utilisées dans notre études en sachant de façon certaine qu’elles peuvent être bénéfiques. Développer ce type de traitement en même temps que le dépistage très précoce permettrait d’améliorer considérablement la prise en charge de l'autisme.

Encore une fois, il n’est pas question de guérir l’autisme, mais de trouver des traitements qui réduisent le mieux possible le syndrome. L’autisme est aussi une maladie sociétale, et c’est à la société de se donner les moyens d’accompagner les malades par le biais de structures adaptées.


S&A : Votre étude montre l'importance de l'hormone de l'accouchement dans l'apparition du syndrome autistique. Ne pourrait-on pas agir au moment de l'accouchement pour réduire les risques d'apparition de la maladie ?


Yehezkel Ben-Ari : L’accouchement est un moment clé dans l’apparition du syndrome autistique. Pour autant, c’est un processus qui engage des mécanismes hormonaux très complexe et il n’est pas réaliste d’envisager qu’on puisse détecter et donc pallier le déficit d’ocytocine au moment de la naissance.


L’ocytocine est l’hormone que la mère (ou l’enfant on ne sait pas bien) déclenche au moment de l’accouchement. C’est elle qui provoque une baisse du taux de chlore et permet aux neurones de se développer normalement. On sait qu’une naissance prématurée favorise l’apparition de la maladie. C’est également vrai lorsque des problèmes de détresse respiratoires surgissent lors de l’accouchement.

Nos travaux doivent emmener la communauté scientifique à poursuivre et approfondir les études épidémiologiques sur le lien entre accouchement par césarienne et autisme. Car jusqu’à présent les études suggérant ce lien sont controversées. Ces recherches sont particulièrement urgentes en ce qui concerne les césariennes programmées, dites de confort. Si on me donnait demain un financement de 100 000 euros je le ferais tout de suite ! Je ne suis pas obstétricien et ne peux donc pas m’avancer, mais si ces études épidémiologiques étaient menées, nous pourrions avoir des surprises.